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Chapitre 11 : Les paramètres diagnostics

gravité fonctionnalité

Nous venons d’évoquer le casse-tête des sexologues – et des humains tout courts – qui débattent entre sexe et amour. Voici un texte issu du livre A chaque jour suffit son bonheur que je proposais à un public assez large, au public éclairé, avec un style plus léger que dans mes écrits professionnels. Il s’essaye à une typologie amoureuse en six catégories… C’est badin et coquin. Il y a le recul du thérapeute qui doit prendre ses distances avec toutes les souffrances de la journée et qui préfère en sourire pour ne pas en pleurer.

Pourtant cette présentation très ludique se construit sur le modèle structuro-fonctionnel et fait donc ressortir les trois paramètres diagnostics suivants : la polarité structuro-fonctionnelle, la gravité de la pathologie en trois degrés et le lieu fonctionnel où cela se passe, en particulier le lieu somatologique.

Nous évoquons six façons différentes de « troubler » la vie amoureuse et conjugale :

 

  • trois sont passives et trois trop actives ; ces deux ensembles évoquent la polarité fonctionnelle-structurelle ;

  • les six catégories se situent au niveau des troubles de la personnalité et ressortent donc du deuxième degré de gravité ;

  • enfin chaque type correspond à l’une des fonctions du modèle EISARC : émotion, intuition, sensation, action, réflexion, communication.

     

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